Une grande bâtisse se tenait là, devant Alicia. Celle-ci aurait pu être l'un de ses nombreux bâtiments maintenant désertés et délabrés sans aucun intérêt depuis la Catastrophe mais, non. Cette bâtisse était le premier rempart à la ville qui avait délibérément tué son frère. Réussir à entrer n'allait pas être une partie de plaisir et tant donnée que l'accès était strictement réservé aux citoyens de cette ville. Mais, comme on pouvait s'y attendre de la part du commanditaire des ennemis numéro 1 de la ville, elle avait un pass. Enfin une sorte de pass qu'elle avait obtenu auprès d'un citoyen qui avait pour des raisons inconnus décidé de faire une petite promenade en bonne compagnie. Il ne s'attendait vraiment pas à ce que cette charmante compagne lui ôte la vie alors qu'ils étaient en plein ébats.

Bref, ce n'est pas là le sujet de l'histoire. Alicia, après avoir eu vent de l'était de crise dans lequel était la ville, grâce aux rumeurs, papotages et autres, décida de payer une petite visite à cette ville qu'elle abhorrait tant. En réalité, c'était son groupe qui avait placé des explosifs, précédemment volés par leurs alliés en ville et qui les avaient fait sauté. Elle voulait s'assurer de l'état de panique dans la ville.

L'entrée n'avait pas été tellement compliqué, vu que les gardes n'étaient que des hommes et, elle une femme aux appas irrésistibles. Aussi étrange que cela pouvait paraître, l'annulateur de pouvoir avait été désactivé.. Coup de chance? ou plutôt séduction des gardes aux commandes du système de sécurité? On ne le saura jamais.

De l'extérieur, on ne saurait jugé à quel point le couloir qui mènent au bureau de recensement est long. Durant la longue traversé qui dura une bonne dizaine de minutes, Alicia s'informa sur la situation de la ville auprès des gardes. Leurs réponses ne la satisfirent point vu que d'après eux, tout avait été rapidement mis sous contrôle.

Alors qu'elle venait de traverser le couloir, elle eu le mauvais réflexe de s'accouder au bureau. Dès qu'elle réalisa ce qu'elle venait de faire, elle se dit:


« Ah ben mince... S'infiltrer discrètement, c'est vraiment pas mon truc hein! »

Elle sortit alors ses deux pistolets qu'elle a elle-même finiolés pour qu'ils ne soient utilisables que par elle et, qu'elle correspondent aux style de combat du gun-kata. Après les avoir sortit, elle tira naturellement sur les gardes, comme si de rien n'était, en effectuant des mouvement qui pourrait relever dignes de ceux d'une gymnaste. Elle ne rata aucun garde et, patienta, le temps que celui du Haut Conseil qui s'occupe du fer apparaisse.

L’homme, qu’Alicia attendait, arriva enfin. Elle en connaissait plus sur lui que lui ne la connaissait. Cet homme était l’un des membres du Haut Conseil, un des fondateurs de Heaven, une ville qu’elle prendrait tellement de plaisir à détruire. Ce qu’elle savait de lui était le stricte nécessaire pour ne pas être surprise par son pouvoir qui est celui de contrôler le fer. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle se trouva imbécile d’avoir toucher le bureau, constitué de fer. Elle avait entendu dire qu’il pouvait également ressentir le fer qui composait la ville. De ce fait, il lui était désormais inutile de chercher à rentrer discrètement dans la ville. Autant créer le plus de panique possible. Que direz les autorités de Heaven lorsqu’elles sauraient que la chef des Outbacker a parvenu à rentrer dans la ville ?

Peu de temps après le petit massacre causé par Alicia, celui-qui devait s’appeler Jefferson Rain apparu. Il lui semblait bizarre. Il ressemblait à un de ces mordus d’art qui ne s’intéressait à rien d’autre à part à leur art. De plus, il fixait Alicia d’un air qui mêlait envie du corps et envie de meurtre. Ne s’attardant pas plus, Alicia demanda :


« Serais-tu le prénommé Jefferson Rain ? »


Alicia attendit une réponse, toute en étant quelque peu sur la défensive car, si le pouvoir de cet homme était bien le contrôle du fer et qu’il avait une infime connaissance de la physionomie humaine, il saurait que dans le sang humain, il y a du fer. De ce faite, et pour s’assurer une victoire, Alicia activa son deuxième pouvoir, contrôle marionnette. Ce pouvoir lui permettait de créer des fils invisibles à l’œil humain et, ces fils lui permettent de manipuler à la manière des marionnettistes, toute sorte de chose. Elle laissa ses fils discrètement prendre place dans toute la salle, même sur les murs et le plafond et, se prépara également à refaire revivre les morts, si Jefferson avait l’idée folle de s’en prendre à elle, en pensant qu’elle ne pourrait pas se défendre.

Il resta sans rien dire à contempler ce qui sera sans aucun doute son prochain chef-d’œuvre . En même temps des questions lui taquinaient les lèvres , d'où venait elle? , pourquoi avait elle tuer ces braves gardes? qui est elle?. Bref ,il se dispensa d'un questionnaire aussi ennuyeux qu'inutile parce que pour lui la beauté n'avait pas à s'expliquer car comme l'art et l'imagination, elle est libre et sans explication du moins qu'elle plaise, et puis il ne voulait pas qu'avec ce dialogue son modèle se mette à bouger. Car dans ce moment de silence , il essayait de ne rien perdre de son visage et de son corps , ses douces formes , le placement de ses cheveux et surtout ses yeux qui miroitaient une pincée de destruction et une poignée de tristesse qui lui donnait un air à la fois menaçant et impossible à détourner pour lui . Il l'étudia pendant quelques secondes mais sa concentration fut interrompue par les muscles de la mâchoire en mouvement de la jeune personne. Quelques mots sortirent de sa bouche du genre:

« Serais-tu le prénommé Jefferson Rain ? »

Il ne parla pas tout de suite car il ne voulait pas que sa réponse ait des conséquences sur le temps qu'il lui restait à la regarder , il était trop pris par son jeu mais un peu après, son expérience du détail lui avait fait remarquer que son modèle avait laissé passer une petite expression qui peut paraitre invisible par des personnes sans expérience du dessins au niveau du portrait . Puis il remarqua tout de suite grâce à sa deuxième capacité que le fer qui recouvrait le couloir n'était pas normal et qu'il avait été touché par quelque chose mais le plus bizarre dans tout cela, était que toute la salle ait été touché en même temps et qu'il ne voyait rien . Avait elle fait quelque chose ? Hésitait elle à attaquer? Mais dans les deux possibilités aucunes n'étaient désirées . Alors pour ne pas paraître impoli il lui répondit :

"Mon nom n' a pas d'importance , la vrai question est y aurait il un pot par ici ? car je viens de tomber sur une fleur "

Jefferson attendit une réponse de son objet tant convoité , il n'avait pas peur de ce qui semblait se passer autour de lui même si il ne pouvait pas expliquer cet étrange phénomène , il restait là de marbre encore une fois ,les mains dans les poches et avec à l esprit une seul question valable d'être posait :

" Si je lui demande de lui dessiner son portrait... va-t-elle accepter que je le fasse au crayon de papier?"

L'homme qui était devant elle était vraiment étrange... C'était lui qui la draguait... Alicia n'avait pas l'habitude d'une telle situation où, c'était l'homme qui la draguait et ce, sans même qu'elle n'ait à le séduire... Il était intéressant. Mais, un détail mit fin à l'opinion qu'avait Alicia de cette homme. il l'avait comparé à une fleure... Une fleure qui n'avait pas de vase. Alicia tenta de rester calme mais, tout à coup, elle se mit à rire, rire d'une façon extrême. Elle trouvait la réplique de celui-ci qu'elle pense être Jefferson, franchement ringarde... Un pot de fleure sans fleure. En y repensant elle se mit à rire de plus belle...

Après cinq minutes de pur fou rire, Alicia se remit au sérieux avec des rictus de rire qui déformait son visage de temps à autre. Malgré cela, elle put tout de même dire:


« Et ben dit donc, on peux dire que toi, tu sais faire rire les demoiselles. Mais bon, trêve de bavardage et de rigolade»


Elle n'attendit même pas la réponse de l'homme pour l'attaquer. Alicia avait appris à ses dépends qu'attaquer en premier pouvait souvent sauver sa propre vie ou celle d'une personne qui nous est chère. De ce fait, Alicia fit se relever un des gardes. Celui-ci se leva alors que quelques instants plutôt, il était sans vie. On pouvait néanmoins remarquer que ses yeux n'étaient pas ouverts et, que ses membres semblaient pendre de son corps. Du moins jusqu'à ce que Alicia le fit se mouvoir et, courir pour se positionner près de Jefferson. Le garde s'immobilisa à environ cinq mètres de Jefferson et, leva son arme et attendit un ordre silencieux.


« C'était assez étrange que tu me dragues mais, voici ma réponse. »


A la fin de ce que dit Alicia, le garde se mit à tirer sur Jefferson. Si celui-ci était une personne normale, les balles devraient l'avoir transpercé mais, Alicia se doutait de quelque chose... Etait-il réellement Jefferson Rain? Dans ce cas-là, les balles ne devraient pas lui faire grands maux étant donnée que les balles étaient en fer... Etait-il mort?

La prenait-il pour une imbécile? Pensait-il qu'elle ne remarquerais pas l'absence de sang? Dès que la balle avait disparu, elle avait remarquer l'absence du bruit que l'on reconnaît lorsque quelqu'un se fait tirer dessus... Il manquait tellement de détails que la scène semblait être à Alicia une sorte de moquerie de la part de Jefferson...


« Oh ! je me meurs , pas par ton arme oh ! mais par ta beauté qui a fini par toucher mon cœur ! .... Ah! »

Mais par ta beauté... Il pensait vraiment pouvoir la séduire, elle qu'on appelle « Aphrodite » du faite de son pouvoir. Le seul fait que ça soit lui qui l'a séduit et non l'inverse est en soit risible et, en même temps, Alicia trouva que cette scène avait un petit air de tristesse car pour une fois qu'un homme l'aimait pour ce qu'elle était enfin du moins pour son physique sans qu'elle n'ait eu à user de son pouvoir, elle devait tuer cette homme. C'était son devoir. A cause de celui-ci, la ville qui a tué son frère se tient encore debout au milieu de ce monde qui n'est que ruine et chaos depuis peu... Elle lui en voulait, elle le détestait, lui qui osait protéger cette ville. Elle le détesta encore plus lorsqu'il fit semblant de périr. Elle avait vu à travers son tour.


« Alors c'est comme ça que tu veux jouer? Tu sais, même si tu m'as fais rire, cela ne m'empêche pas de te tuer pour autant. J'en ai d'hors et déjà tué de nombreux citoyens de votre ville... Je suis votre ennemie numéro 1 et encore, tu trouves le moyen d'essayer de me séduire?! Si tu me veux autant, je te propose un marché. Que dirais-tu de venir avec moi? De me rejoindre? Et puis d'ailleurs, qu'a cette ville pour un artiste comme toi? Ne préfères-tu pas contempler l'extérieur? Et puis, avoue le, ne te sens-tu pas mis à part dans votre société? »

Elle s'approcha légèrement de Jefferson, à quelque pas de son corps et, s'accroupit et murmura:


« Suis moi... Je peux t'offrir tellement plus qu'eux... Je peux t'offrir toute la liberté que tu mérites et, je peux même t'offrir l'amour... »

Alicia laissa alors la graine de la désertification germer dans l'esprit de Jefferson. Si la graine germait bien, elle gagnerait un allié de taille et par la même occasion ferait trembler la ville de Heaven d'indignation avec la trahison d'un des membres fondateurs... Elle n'avait plus qu'à attendre... Et, au cas où Jefferson ou quiconque l'attaquerait, elle s'enveloppa de ses fils invisibles qui étaient tendus à l'extrême pour lui permettre une retraite rapide et directe. Elle n'était pas spécialement venu pour tuer mais plus pour déstabiliser et quoi de mieux que de lancer des graines de discordes?

Il fut très content de sa mise en scène même si sa phrase avant le coup final avait été fait à la va vite. Mais celle ci n'était pas dupe , vraiment pas car quelque instant après elle lui a dit :

« Alors c'est comme ça que tu veux jouer? Tu sais, même si tu m'as fais rire, cela ne m'empêche pas de te tuer pour autant. J'en ai d'hors et déjà tué de nombreux citoyens de votre ville... Je suis votre ennemie numéro 1 et encore, tu trouves le moyen d'essayer de me séduire?! Si tu me veux autant, je te propose un marché. Que dirais-tu de venir avec moi? De me rejoindre? Et puis d'ailleurs, qu'a cette ville pour un artiste comme toi? Ne préfères-tu pas contempler l'extérieur? Et puis, avoue le, ne te sens-tu pas mis à part dans votre société? »

Ses mots sonnèrent comme une cloche , ses proposition résonnaient avec fracas dans les abysses de son être , elle avait visé juste , une des cordes sensibles qui avait été déréglée après avoir eu cette place importante à Heaven. Lui qui voulait tant sortir de cette ville pour découvrir les mystères extérieure, lui qui était mal compris des autres membres de ça troupe et qui peut être avec le temps a été mis à part dans cette société . Avant son nom était sur toutes les lèvres car son simple son , évoquait le mot talent et maintenant qu'avait il ? le simple salut des passants ? des chaines qui l'attachaient pied poing liés à Heaven? Le surnom de l’alcoolique? ou bien le dégout de certains de ses semblables ?

. Mais soudain quelque chose lui frappa l'esprit , elle avait précisé qu'elle était l'ennemie numéro 1 et qu'elle avait tué beaucoup de citoyen de la ville .Il venait de se rendre compte que la personne qui se trouvait en face de lui était Aphrodite ! Il senti alors une grosse douleur qui lui disait que peut être elle avait utilisé ses pouvoirs sur lui et rien que cette idée lui faisait ravaler sa fierté . C'est ce qu'il appelait de l'arnaque pure et dure ! En raison de cet affront il voulu la tuer au premier abord mais il décida de la laisser en vie , en récompense de son coup de maitre qui avait faillit marcher. Il attendit le moment propice pour l'enfermer . Après elle s'avança près de lui ,s'accroupit et murmura:

« Suis moi... Je peux t'offrir tellement plus qu'eux... Je peux t'offrir toute la liberté que tu mérites et, je peux même t'offrir l'amour... »

Il avait les yeux fermés et pour la première fois ,il regarda avec ses oreilles. Pourrait elle lui offrir plus ? lui offrir des ailes pour passer au-dessus de ces murs ? et enfin de lui faire découvrir peut être le vrai grand amour , le seul ,l'unique coup de foudre ? Cela était vrai , peut être allait elle le tuer après avoir fini avec cette ville cependant il préférait mourir debout que de vivre à genoux .

Alors il se leva et commença à tendre sa main vers elle mais soudain , il se mit à tousser très fort , tellement qu'il en recrachait la brume de fer . Aucun doute il était en manque de drogue ! Ce qui causait chez lui une envie de faire sortir le fer asphyxiant qu'il portait en lui . Alors pour ne pas que le nuage prenne toute la salle et par conséquence la tue , il recouvrit ses pieds du fer qu'il avait en-dessous de lui puis il se propulsa en arrière en contrôlant ses nouvelles chaussures en fer de façon à le faire l'éviter et dans un dernier moment de silence et de passion il contempla une dernière fois ce magnifique rayon de soleil. Il devait vite sortir de la salle et retourner chez lui pour reprendre de la drogue mais arrivé à la sortie deux gardes commençaient à y pénétrer , alors pour garder cela secret et pour protéger ses hommes et en même temps la beauté, il s’arrêta près d'eux la main sur la bouche , il tendit l'autre main et en une fraction de seconde il plia l'entré nord . Puis il dit au deux gardes :

" Je condamne l'entrée nord pour quelques moments car euh ...elle pue et euh... tous ce qui empeste je déteste , alors si ça vous intéresses , évitons d'aller par là ce serait grotesque oh ! la rime ! mouhouhaha !(silence) bon pas un mot sur ça, je vais m'en occuper seul . "

Les gardes le regardèrent bizarrement puis ont fait un signe de la tête pour dire qu'ils avaient compris .Alors il décida de faire le reste du trajet à pied parce qu’il ne toussait plus et qu'il ne voulait pas attirer l'attention . Arrivé chez lui , il couru d'une agilité peu performante vers la drogue puis le consuma grâce à une seringue. A ce moment là tout devenait plus clair et pourtant l'image de cette femme et sa proposition lui revenait plusieurs fois à la figure même qu'il décida de préparer ses affaires pour partir mais... quand il vit le papier qu'il avait laissé au coin de sa peinture il se mit à sourire délicatement . Il lâcha ses affaires puis repris la peinture qu'il avait laissé derrière lui , il regarda le blanc qu'il n'avait pas fini de peindre et dans un long moment de silence, de concentration et de passion , il y peignit la fleur qu'il avait laissé seule près des cadavres à l'entré nord. Certains pourraient dire que c'était une femme , d'autre une tueuse ou encore une ennemie mais lui y vit en elle l'inspiration.

Il faut avouer qu'Alicia ne s'attendait pas du tout à ce que Jefferson lui toussa dessus. De plus, il semblait tousser une sorte de fumée argenté, du fer en avait conclu Alicia. Ensuite, il se redressa et, à ses pieds apparu des chaussures faites de fer, intéressant. Enfin, il se propulsa assez rapidement et, parti tout simplement. Alicia n'avait pas l'habitude qu'un homme lui tourne le dos si vite et, qu'il s'en aille comme cela, la laissant seule, comme une plouk.

Alicia, vit soudainement deux gardes. Elle eut alors le réflexe d'armer ses deux berettas personnalisés et, visa les deux gardes. Elle allait se mettre à tirer lorsque soudain, Jefferson referma l'entrée en créant une sorte de mur, séparant la ville et elle. Cela ne la plus que très peu:


* Ah oui, c'est comme ça?! Et comment je fais moi maintenant pour entrer hein! *


La colère semblait monter lorsqu'elle se transforma en satisfaction. Elle avait réussi à implanter une graine, une graine de trahison. Elle en était extrêmement fière d'ailleurs. Maintenant, il ne lui restait plus qu'à voir ce qu'allait devenir la graine, allait-elle faire naître un allié de taille ou, allait-elle juste disparaître? Seul l'avenir pourra nous le dire... Mais, elle comptait bien chambouler un peu tout cela et accélérer le processus.

Enfin, Alicia devait penser à autre chose maintenant. D'ailleurs, elle ne pouvait manifestement plus accéder à la ville, vu que Jefferson avait boucher l'entrée. Que faire, que faire... Suite à une intense réflexion, elle décida de rebrousser chemin. De toute manière, la sortie était intacte et donc fonctionnel. Elle voulait causer encore plus la panique dans la ville mais bon, sur ce coup-ci, elle n'avait pas d'autre choix. Elle décida alors de repartir par le couloir, tranquillement et en chantant:


« Come on! Come on! You don't know me yet, how popular I am. Love is always hard to protect... Love love love... »


Elle se retourna tout-à-coup et, décida de laisser un petit cadeau, histoire que la ville sache qu'elle est passée par-là. Elle voulait leur montrer ce qui les attendait... Elle découpa donc les corps tout simplement et, dispersa tout le sang et les membres dans la salle du recensement. Enfin, elle laissa un mot, écrit avec le sang des gardes et repris son chemin vers l'extérieur:


« Hello »